Europe, la confrontation de la guerre sur les Juifs
Posté par Pilar Rahola le 9 juin 2010 et déposée en vertu FrontPage. Vous pouvez suivre les réponses à ce bulletin avec le fil RSS 2.0. Vous pouvez aller directement à la fin et laisser un commentaire.



Pourquoi ne pas voir des manifestations à Londres, Paris et Barcelone contre les dictatures islamiques? Ou des manifestations contre la dictature birmane?

Pourquoi ne sont pas là des manifestations contre l'asservissement de millions de femmes qui vivent sans aucune protection légale?

Pourquoi ne sont pas là des manifestations contre l'utilisation d'enfants comme bombes humaines en cas de conflit avec l'islam?

Pourquoi n'y a pas eu de leadership dans le soutien aux victimes de la dictature islamique au Soudan?

Pourquoi est-il jamais un attentat contre les actes de terrorisme commis contre Israël?

Pourquoi y at-il aucune protestation de la gauche européenne contre le fanatisme islamique? Pourquoi ne pas défendre le droit d'Israël à exister?

Pourquoi confondre le soutien de la cause palestinienne à la défense du terrorisme palestinien?

Enfin, la question de millions de dollars: pourquoi la gauche en Europe et partout dans le monde obsédé par les deux démocraties les plus solides, les États-Unis et Israël, et non avec les pires dictatures de la planète? Les deux démocraties les plus solides, qui ont subi les attaques les plus sanglantes du terrorisme, et la gauche ne se soucie pas.

Et puis, à la notion de liberté. Dans tous les forums pro-palestiniens européenne j'entends les hurlements gauche avec ferveur: «Nous voulons la liberté pour le peuple!" Ce n'est pas vrai. Ils ne sont jamais intéressés à la liberté pour le peuple de la Syrie ou au Yémen ou en Iran ou au Soudan, ou d'autres nations telles. Et ils ne sont jamais préoccupés lorsque le Hamas a détruit la liberté pour les Palestiniens. Ils ne sont concernés par l'aide de la notion de liberté des Palestiniens comme une arme contre la liberté d'Israël. La conséquence découlant de ces pathologies est la manipulation idéologique de la presse.

La presse internationale fait des dommages importants lors de la déclaration sur la question de la question israélo-palestinienne. Sur ce sujet, ils n'informent pas, ils la propagande. Lors de la déclaration au sujet d'Israël, la majorité des journalistes oubliez le code de déontologie journaliste. Ainsi, tout acte israélien de la légitime défense est un massacre, et de toute confrontation, le génocide. Tant de choses stupides ont été écrites au sujet d'Israël, qu'il n'y a pas de gauche à niveau accusations contre elle. Dans le même temps, cette presse ne discute jamais l'ingérence syrienne et iranienne dans la propagation de la violence contre Israël; l'endoctrinement des enfants et la corruption des Palestiniens. Et lors de la déclaration des victimes, chaque victime palestinienne est signalé comme une tragédie et toutes les victimes israéliennes est camouflée, cachée ou rapporté sur avec dédain.

Et permettez-moi d'ajouter sur le thème de la gauche espagnole. Nombreux sont les exemples qui illustrent l'anti-américanisme et les sentiments anti-israéliens qui définissent la gauche espagnole. Par exemple, l'un des partis de gauche en Espagne vient d'expulser un de ses membres pour créer un site pro-israélien. Je cite le document de l'expulsion: «Nos amis sont le peuple d'Iran, la Libye et le Venezuela, opprimés par l'impérialisme, et non un état nazi comme Israël."

Dans un autre exemple, le maire socialiste de Campozuelos changé Shoah Journée de commémoration des victimes de l'Holocauste, avec palestiniens Nabka Jour, qui pleure la création de l'Etat d'Israël, montrant ainsi le mépris de six millions de Juifs européens assassinés durant l'Holocauste. Ou dans ma ville natale de Barcelone, le conseil municipal a décidé de commémorer le 60e anniversaire de la création de l'État d'Israël, en ayant une semaine de solidarité avec le peuple palestinien. Ainsi, ils ont invité Leila Khaled, a noté terroristes des années 70 et actuel leader du Front populaire de libération de la Palestine, une organisation terroriste alors décrit par l'Union européenne, qui encourage l'utilisation de bombes contre Israël. Et ainsi de suite et ainsi de suite.

De cette façon politiquement correct de penser a même pollué le discours du président Zapatero. Sa politique étrangère relève du fou gauche, et sur les questions du Moyen-Orient, il est clairement pro-arabe. Je peux vous assurer que privés, des lieux Zapatero à Israël le blâme pour le conflit au Moyen-Orient, et les politiques de ministre des Affaires étrangères Moratinos en tenir compte. Le fait que Zapatero a choisi de porter un kafiah au milieu du conflit au Liban n'est pas un hasard, c'est un symbole.

L'Espagne a subi la pire attaque terroriste en Europe et il est dans le collimateur de toutes les organisations terroristes islamiques. Comme je l'ai écrit avant, ils vont nous tuer téléphones cellulaires accrochés aux satellites connectés au Moyen Age. Et pourtant, la gauche espagnole est la plus anti-israélien dans le monde.

Et puis il dit qu'il est anti-israélien en raison de la solidarité. C'est la folie je veux dénoncer.

Conclusion:

Je ne suis pas juif. Idéologiquement, je suis de gauche et journaliste de profession. Pourquoi je ne suis pas comme anti-israélien comme mes collègues? Parce que, comme un non-Juif, j'ai la responsabilité historique de lutte contre la haine juive et qui s'oppose actuellement à la haine pour leur patrie historique, Israël. Pour lutter contre l'antisémitisme n'est pas le devoir des Juifs, il est du devoir de la non-Juifs.

En tant que journaliste, il est de mon devoir de chercher la vérité au-delà des préjugés, des mensonges et des manipulations. La vérité sur Israël n'est pas dit. En tant que personne de la gauche qui aime le progrès, je suis obligé de défendre la liberté, la culture, l'éducation civique pour les enfants, la coexistence et les lois que les tables de l'alliance faite dans les principes universels. Principes que le fondamentalisme islamique détruit systématiquement. C'est-à-dire que comme un non-Juif, journaliste et Lefty, j'ai un triple devoir moral avec Israël, parce que si Israël est détruit, la liberté, la modernité et de la culture sera détruite aussi.

La lutte d'Israël, même si le monde ne veut pas l'accepter, c'est la lutte du monde.

Pilar Rahola est un homme politique espagnol, journaliste et militant. Elle est un défenseur passionné de la États-Unis et Israël et un combattant infatigable contre l'antisémitisme. Tout cela bien qu'il soit idéologique de la gauche. Ses articles sont publiés dans Espagne et dans certains des journaux les plus importants Amérique latine. Elle est la récipiendaire du prix importants par des organisations juives